La France a besoin d’une souveraineté économique solide s’appuyant sur des citoyens compétents qui peuvent conjuguer bien-être dans la vie au travail/télétravail et performance individuelle et collective.
Des citoyens autonomes capables de gérer les imprévus et incertitudes.
Depuis le big bang de la loi sur « la liberté de choisir son avenir professionnel » on assiste à une multiplication de regains ou de déclins d’activités, de nouveaux dispositifs, de nouveautés pédagogiques, de l’apparition de nouveaux métiers tous azimuts, issues de la loi elle-même et/ou nées du développement du digital, du numérique et de l’intelligence artificielle....Les référentiels sont revus ....Les besoins post covid des entreprises et des consommateurs, l’actualité environnementale, économique et stratégique créent des vents cosmiques où les défis à relever nous mettent face à nos forces et faiblesses.
La formation, tant par sa nature que par son objet porte en elle-même la transformation des individus, des organismes de la société et du monde.
L’histoire de l’humanité nous le démontre clairement.
C’est ce principe transformateur qui anime l’énergie du renouvellement perpétuel de l’apprentissage humain.
Au final on peut affirmer que la formation est un principe de vie et un bien commun.
La formation professionnelle continue porte en elle le moteur de ses succès et de ses échecs pour développer une société de compétences.
Il nous revient de faire en sorte qu’elle réussisse !
Le gouvernement impulse et pilote les priorités pour que chacun des acteurs s’organise et agisse dans ce but.
Nous découvrirons donc comment l’évolution de l’enseignement et la formation professionnels en les plaçant à la pointe des nouveautés scientifiques peut renforcer la position des formateurs, des entreprises, de la société, de l’économie et donc du pays.